L'Art...iste !!
Après shampoing des heures passées : LUI en compagnie du Dalaï Alpaga RIEN pense pouvoir avancer une explication rationnelle sur l'art. En conséquence, même si il ne possède pas la science infuse comme le thé, avec laval du grand espadon RIEN peut affirmer que l'art n'est qu'un thermes sans cure vide de sens... L'art, ne s'explose pas seulement dans les musées, mais aussi dans la rue, la nature, ainsi soit-il, l'art appartient à chaque homme, femme qui ose créer... (Que faisons nous ici !) Inéluctablement nous sommes tous des artistes, singes, éléphants compris.
OUI MAIS, comme toujours il y a un mais, pourquoi seulement quelques peintres (c'est un exemple applicable aux musiciens, écrivains, sculpteurs...) sont-ils côtés, une espèce de CAC 40 de l'art, alors que l'immense majorité des autres sont soi disant nuls. Nuance, la couleur que vous voulez, ils ne sont pas nuls, ils n'ont pas la côte, une virgule c'est tout.
Pour être un peintre illustre, du latin lustre sous la lumière, il lui a fallu rencontrer un illustre CON, RIEN a nommé, mais vous avez devinez, le critique d'art ou le critique au sens large du terme. My god(michet) quoiqu'il soit en perte de vitesse, en 2008 on parle plus facilement de sexe toy... Le petit canard, la girafe du petit dernier devient l'objet de toutes les folies... M'enfin je me gare. Donc, my god voilà un homme grand à contrario d'être un grand homme. Le critique d'art est un mec, femme, homo, lesbienne... qui sans avoir une trace, une goutte, un atome de génie créatif, est capable de déféquer, pardon, de décréter que tel peintre est un maître alors que les réalisations du dit bonhomme sont de la daube même pas fraiche.
Tient une mouche à merde !!!
L'unique différence entre un peintre universellement connu et un barbouilleur lambada réside dans sa rencontre un jour pour le con temps forain ou posthume pour l'artiste mort. Il est vrai que l'artiste mort a beaucoup la cote. Avec un type fort en gueule qui a su l'imposer en faisant de lui un génie sans bouillir... RIEN pousse le bouchon un pneu loin, pas vraiment, pour être un artiste, un vrai, un pur, un dur, un tatoué, persillé, il faut être libre, mais pour être libre il faut un minimum de fric pour subsister et lorsque l'argent prend le par-dessus sur la création, l'artiste devient une pâle copie de lui-même et si par malheur il est léger dans sa tête sa création explose.
En fait, l'art de rien, RIEN s'escrime, en garde, fente avant, esquive, tente pas celle de camping, ni la frangine de mon père, de vous expliquer que l'art n'est qu'une spéculation sur un artiste et qu'il serait urgent de créer un terme propre sans tâche pour définir ce que VOUS : vous trouvez beau. N'importe quoi, du moment que votre sensibilité s'en trouve excitée et que votre porte-monnaie intervient uniquement pour une juste rétribution du travail accompli et non d'une notoriété spéculative.
RIEN vous racontera une histoire vécue une autre fois si vous êtes sage...
Soit dit entre nous, RIEN a réalisé quelque toiles qui de son humble avis, sans avoir rencontré LA moindre critique, méritent le détour. Il espère que maintenant ses œuvres pourront se vendre un ou deux millions de barils de pétrole.
A bon entendeur salut