L'Instit

Publié le par Tabellarius

« Quand le soleil se couche, c'est beau...

   Quand le soleil se lève, c'est encore plus beau...

   Entre-deux, il ya la nuit... »

                                                        

 

            Il était une fois, une fois de trop, une fois qui n'aurait jamais dû exister...   1998

 

            Campagne tranquille, campagne livide, pourtant, au cœur de celle-ci, se logeait un havre de paix où les petits n'enfants aimaient l'école ; l'Ecole avec un E majuscule sans particules, ni pellicules. Croyez RIEN, il ne dit pas que des conneries, mais cela existait encore, une école où les enfants allaient avec plaisir. Malgré le travail abondant qu'ils devaient fournir et les discordes de piano, méchancetés infantiles imputables à leur jeune âge ; ils étaient heureux. Heureux d'apprendre, heureux de partager, heureux tout simplement comme le soulagement d'une vessie trop longtemps comprimée non pas dans une bouteille à 20 000 lieux sous les mers, mais dans le fond de son caleçon sur une selle de vélo. Comme toujours le bonheur n'est pas éternel, la belle mécanique s'enrhuma au point de tomber malade et de contaminer la classe...

            Mon fils, la chaire de mon sperme, comme les autres ni échap papas. Bien que RIEN n'y soit pour rien. A la maladie. Rassurez-vous une maladie qui s'attaque à l'âme et non au corps (Dans ce cas), la guérison  vu son jeune âge sera rapide, mais une faille, une blessure imperceptible restera à jamais gravée. Son esprit oubliera, pas sa conscience qui un jour inconsciemment le rappellera à l'ordre.

Publié dans Histoires vécues

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